Les 10 pires erreurs à éviter lors d’une négociation salariale

Publié le : 18 mars 20215 mins de lecture

Vous souhaitez un salaire plus élevé ? Vous devrez ensuite négocier une augmentation de salaire. Une bonne préparation est essentielle et des arguments tels que l’augmentation du coût de la vie ou le fait de gagner moins que vos collègues ne convaincront pas un patron. En tant qu’employé, vous êtes dans une très bonne position, surtout dans le domaine médical, par exemple en tant qu’infirmier et travailleur de la santé. Après tout, le personnel dans ce domaine est très demandé et est constamment recherché. Pour que l’entretien soit couronné de succès, il faut à tout prix éviter ces dix pierres d’achoppement dans les négociations salariales.

Négociation salariale : Vous gagnez plus que ce que vous recevez ?

Pour répondre à cette question, il faut être très bien préparé à l’entretien, car le patron se posera la question du pourquoi. Quels sont les chiffres clés de vos propres activités qui sont pertinents et qui ont évolué positivement ? Les projets bien réalisés ou les très bonnes performances se prêtent à l’argumentation.

Négociation salariale : Vous gagnez moins que vos collègues

Il est préférable d’oublier très vite cet argument. Seules comptent vos propres performances et votre propre comportement dans l’entreprise. Il semble injuste que des collègues gagnent plus, mais vous devez faire preuve de prudence dans les comparaisons.

Négociation salariale : Se référer à la concurrence 

Il se peut que d’autres entreprises gagnent davantage. Toutefois, la référence à ce point n’a pas sa place dans les négociations salariales. Se comparer à d’autres entreprises n’est pas professionnel, surtout si les conditions exactes de la concurrence ne sont pas connues en détail. Ce qui compte, c’est votre propre performance avec votre employeur actuel.

Négociation salariale : L’argent ne suffit pas

Même si le portefeuille est à nouveau vide : cet argument n’a pas sa place dans la conversation. Même un employeur, aussi social soit-il, aura du mal à accepter cet argument. Vous avez fait un très bon travail et avez donc gagné un très bon revenu.

Négociation salariale : Du bon au mauvais moment

Tout à fait spontanément, l’idée vient à l’esprit que l’on peut en fait demander plus d’argent au patron. Ce n’est pas une bonne idée. Tout d’abord, vous ne savez pas si le patron a le temps et ensuite, ces arguments spontanément bons font défaut. La situation économique n’est pas aussi favorable ? Si la caisse est vide, aucun patron ne réagit positivement aux demandes de salaire plus élevé.

Je suis parti

Toute personne qui menace de démissionner lors de la négociation salariale est considérée comme très peu professionnelle. Même si c’est difficile, la retenue est importante. Respirez profondément et prenez un nouveau rendez-vous. Si ce rendez-vous est bien préparé et que même les choses qui ne vont pas se passer comme il se doit, c’est un bon premier pas dans la bonne direction.

Douter de sa propre valeur dans les négociations salariales

Demander au patron avec peu de confiance en soi et de timidité si on pourrait peut-être obtenir un peu plus de salaire ne mène que rarement au but. Avant de le faire, examinez une nouvelle fois vos propres performances et rendez-vous au bureau du patron le dos droit.

Porter léger ne donne pas plus, mais moins

Vous n’êtes pas obligé de vous présenter en costume ou en tenue, mais pour les négociations salariales, vous ne devez pas porter de vêtements trop décontractés. Des vêtements adéquats signalent au patron que vous avez ici un employé qui connaît sa valeur.

Les problèmes doivent disparaître

Peut-être que votre interlocuteur ne réagit pas comme vous l’espériez et qu’il veut refuser l’appel ? Il est donc toujours important de rester calme et de ne pas se mettre en colère, quelles que soient les circonstances. Vous avez pratiquement toujours la possibilité d’avoir une deuxième conversation – préparée – au cours de laquelle vous pouvez faire valoir vos arguments et clarifier ou expliquer les divergences.

Maintenant, soyons réalistes.

Vous n’avez pas eu de conversation depuis bien trop longtemps ? On se retrouve alors rapidement dans la situation de « vouloir se mettre au travail » et d’en demander trop. Pour beaucoup de patrons, ce n’est pas compréhensible. Si les exigences accrues et vos propres performances ne convainquent pas le patron de faire un grand saut, une augmentation progressive fixe peut être possible.

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